Une recette rafraîchissante d’Ice tea maison

Une recette rafraîchissante d’Ice tea maison

Pourquoi une recette d’ice tea maison ? 

Premièrement, les ice tea achetés en magasin sont souvent chargés de sucre et d’autres ingrédients artificiels. En faisant votre propre thé glacé à la maison, vous pouvez contrôler les ingrédients et la quantité de sucre ajouté. 

Ensuite, rien de mieux que de choisir vos ingrédients et goûts préférés pour vous désaltérer en été (et ça rime!).

Finalement, notre recette d’Ice Tea maison est facile à préparer et ne nécessite que quelques ingrédients simples. Vous pouvez également préparer de grandes quantités pour en profiter toute la semaine.

En bref, notre recette d’Ice Tea maison va vous permettre de profiter d’une boisson rafraîchissante, saine, personnalisable et facile à préparer !

Le conseil de Louise

Du mal à atteindre les recommandations en eau sur votre journée ? Ce n’est plus un problème avec ce super Ice Tea maison! Si votre séance de sport suit l’heure d’après, rien de tel que de couper la faim avec une ou deux energy balls. 

Ingrédients pour 1 litre de thé glacé

  • 1L d’eau
  • 2 sachets de thé classiques
  • 4 pêches mûres
  • 25g de sucre
  • 4 energy balls au choix

Temps de préparation : +/- 10 min

  1. Faites chauffer l’eau dans une casserole et plongez les sachets dans l’eau pendant 6-7 minutes afin que celle-ci prenne la couleur du thé.
  2. Coupez les pêches en petits morceaux sans les éplucher.
  3. Dans une carafe, mettez les morceaux de pêche, le sirop de sucre de canne et versez le thé par-dessus. Ajoutez-y vos fruits préférés !

      Et enfin dégustez ! 😋

      Vous avez réalisé notre recette ? N’hésitez pas à prendre une photo et nous tagguer sur les réseaux sociaux @kalisana.belgium.

      Pssst… Laissez aussi votre avis sur la recette et sur nos Energy Balls dans notre boutique, ça fait toujours plaisir !

      Bien récupérer après un défi sportif

      Bien récupérer après un défi sportif

      Ça y est, l’objectif est derrière vous, la ligne d’arrivée est franchie et il est maintenant temps de faire place à la récupération ! Pour certains, les muscles auront été fameusement sollicités, le tube digestif également (notamment pour sports d’endurance ou d’ultra-endurance) et pour d’autres, le mental en aura aussi pris un coup. 

      Le “post-séance” est le plus souvent mis de côté chez le sportif. C’est pour cela que nous avons décidé de vous partager nos conseils et astuces en collaboration avec Renan Gossiaux, préparateur physique et conseiller chez Trakks, et Louise Florizoone, diététicienne et nutritionniste du sport.

      L’alimentation après-sport – les conseils de Louise Florizoone

      L’importance de la récupération par l’alimentation

      Au-delà des substrats utilisés et des calories dépensées pendant l’effort, le corps continue à en utiliser après l’effort, parfois même jusqu’au lendemain! Il convient donc de bien s’alimenter après le sport pour compenser les réserves en substrats qui ont été amenuisées pendant l’effort mais également de contrecarrer les substrats qui seront encore utilisés après l’effort. 

      De plus, l’effort, le déséquilibre de la balance énergétique (apports vs dépenses) induit une perte de poids (qui peut également s’expliquer par une hydratation insuffisante et donc une déshydratation) qui sera également compensée par les apports post-efforts.

      Comment récupérer après la séance ? Que manger ? 

      La récupération s’effectue à plusieurs niveaux : 

      1. Au niveau des muscles et de la reconstruction 

      Pour des efforts intenses et/ou des efforts longs (supérieurs à 1h30), il convient de resynthétiser de la masse musculaire. Cela se fait par le biais des protéines et plus spécifiquement par le biais des acides aminés branchés (la leucine, l’isoleucine et la valine) qui occupent une place centrale dans la structure des protéines et donc de la prise de masse musculaire. Toutefois, la synthèse protéique n’est optimale qu’à condition d’y combiner des glucides.

      Vous avez donc certainement déjà entendu parler des boissons de récupération ? Ces boissons peuvent être de différents types à savoir à base de produits naturels ou à base de produits transformés et peuvent être préparés à la maison comme achetés dans le commerce. Le fait que ce soit une boisson permet une assimilation plus rapide des protéines, soumises à une fenêtre métabolique, à savoir qu’il est préconisé de refaire les stocks idéalement dans les deux heures post-effort.
      Exemples de boissons de récupération maison : 

            • 1 grand verre de lait animal/végétal enrichi en calcium + banane + cacao 
            • 1 grand verre de lait animal/végétal enrichi en calcium + fruits congelés
            • 1 grand verre de lait animal/végétal enrichi en calcium + 1 dosette de whey

      Exemples de boissons de récupération achetées dans le commerce :

            • HiPro de Danone 
            • Cécémel
            • Alpro soja

      2. Au niveau des stocks en glycogène contenus dans le foie et dans les muscles 

      Après un effort, les réserves en glycogène (à savoir les réserves en glucides de l’organisme) sont souvent nettement diminuées. Il est donc primordial de refaire ses stocks après l’effort. Au-delà de la boisson de récupération et si le repas en tant que tel n’est attendu que plusieurs heures après l’effort, il convient donc de manger de petites quantités de féculents raffinés (pain blanc, baguette blanche, sandwich blanc, … accompagné de garnitures sucrées et/ou salées) toutes les 20-30 minutes et ce, jusqu’au moment du repas. Un autre exemple pourrait être une portion de notre Golden Mix, riche en graisses insaturées, en glucides et en protéines. Ce snack est également riche en calories, de quoi vous permettre d’inverser le déséquilibre de la balance énergétique mais également de bien recharger les stocks en glycogène.

          golden mix récupération après effort

          3. Au niveau des « stocks en eau »

          Même si nous n’en possédons pas à proprement parler,  l’hydratation pendant l’effort peut s’avérer être un problème car il est parfois compliqué de compenser les pertes en eau induites par l’effort. Dépendamment du sport et des conditions (fortes chaleurs, altitude, …), les litres de sueur évacuées peuvent être très fluctuants. Il est donc primordial de compenser jusqu’à 150% des pertes en eau dans les 6h post-effort. Une pesée avant et après l’effort peuvent donner une indication.

          4. Au niveau de votre mental 

          Pas d’inquiétude, tout le monde ne se retrouve pas surmené lorsqu’il s’agit de se préparer pour un objectif et d’espérer y arriver plus prêt que jamais au jour J ! Toutefois, la préparation de cela a souvent nécessité des adaptations et des compromis en termes de vie privée, sociale, familiale, et j’en passe. Il est donc important de lâcher du lest une fois la date passée et de revenir à une rigueur quelque peu assouplie de l’organisation du quotidien et de la charge mentale qui s’y apparente parfois.

          5. Au niveau du volume et de l’intensité de l’entraînement 

          Hors de question d’enfiler des baskets de course, des chaussures à clips, des chaussons d’escalade et j’en passe, il est maintenant question de mettre votre corps au repos et de le laisser souffler ! Toutefois, ça ne peut tuer personne de faire des séances de stretching, d’étirements doux, de yoga léger, etc. dans les jours qui suivent. Renan vous en parle très bien ci-dessous !

          L’interview : La récupération physique – les conseils de Renan Gossiaux 

          Pas le temps de lire l’interview ? Viens la regarder en vidéo par ici !

          – Hello Renan ! Peux-tu d’abord te présenter ? 

          “Moi c’est Renan, je suis préparateur physique de formation, de l’UCLouvain, je me suis spécialisé dans tout ce qui est trail-running et j’ai fait mon mémoire sur la nutrition du sportif.  Je travaille chez Trakks, comme conseiller en vente, qui un magasin spécialisé en trail-running. Ma passion c’est la nourriture, le sport et la nature!”

          Pourquoi est-ce que le post-effort (la récupération) est-il important ? 

          “Alors, déjà, on parle souvent de pré-effort, de pendant l’effort mais l’après souvent on le bacle. On boit un petit bière, on se fait plaisir, alors que finalement le moment le plus important c’est le post-effort. 

          Après un gros effort, on a chaud. C’est parce que notre métabolisme puise encore et encore donc il faut contrebalancer ça avec un bon sommeil et une bonne alimentation.”

          Quels sont tes 7 conseils pour bien récupérer physiquement ? 
            1. “Le sommeil, c’est pendant la nuit/les siestes que le corps va récupérer le mieux
            2. L’hydratation
            3. La nutrition, comme Louise vous en a parlé ci-dessus.
            4. Le froid/chaud, la cryothérapie : se mettre dans un milieu froid, de l’eau froide, des glaçons ça permet de bien récupérer. Tout ce qui est contention donc les bas de contention ça fonctionne très bien par exemple pour les mollets. Pendant l’effort c’est pas prouvé scientifiquement mais post-effort, le retour veineux est augmenté donc on permet une oxygénation au niveau des muscles. 
            5. La récupération active c’est-à-dire les entraînements croisés et/ou les sports portés. Après un trail ou un 20km de Bruxelles par exemple, souvent on a tendance à se reposer, on reste assis. Il faut faire le contraire. Il faut mobiliser pour que le muscle soit oxygéné et il ne faut pas rester en position assise où toute la chaîne postérieure va être de nouveau recroquevillée alors qu’il faudrait l’étirer. 
            6. Les étirements : selon moi, ce n’est pas directement après la séance mais au quotidien qu’il faut s’étirer. Il faudra étirer des chaînes musculaires et non pas un muscle isolé. Par exemple, pour étirer la chaîne postérieure, on viendra se coucher sur le dos, les jambes levées pour les étirer. Cette position va aider à étirer la chaîne postérieure des cervicales jusqu’au tendon d’achille. Tout ce qui est posture de McKenzie (le cobra) est intéressant pour les disques intervertébraux. La chaîne musculaire dorsale va être privilégiée dans les étirements. 
            7. Les auto-massages : On voit les athlètes se masser pour mieux récupérer. Ca fonctionne très bien, comme un rouleau de massages par exemple, les automassages, c’est une solution hyper intéressante dans la récupération.”

              Tu parles de sport porté comme le vélo ou la natation, que penses-tu du yoga comme sport de récupération active ?

              “Pour moi le yoga est une discipline hyper intéressante, encore mal connue par monsieur et madame tout le monde. C’est un sport qui va aider à l’assouplissement, au renforcement musculaire. Ça peut vraiment aider les gens qui ont une chaîne postérieure vraiment très raide à s’assouplir et donc d’éviter des tendinopathies à répétition et des problèmes de dos.” 

              Que risque-t-on si on ne prend pas soin de soi après l’effort ? 

              “On risque de se blesser. Si le corps a été perturbé et si on remet directement de l’intensité dessus, on risque des blessures, comme des élongations (déchirures du muscle), des tendinopathies qui est LA maladie du sportif parce que beaucoup de gens créent des inflammations au niveau des tendons qui après peuvent devenir chroniques tellement il insiste dessus. Le danger c’est qu’un sportif supporte plus facilement des douleurs parce qu’il a pris l’habitude donc à un moment donné, la tendinopathie peut même passer à une fracture de fatigue. C’est là qu’il faut faire attention. La récupération fait partie intégrante de la performance. Il faut pouvoir se dire stop, je fais autre chose, je fais des entraînements croisés.

              Quelles sont les fausses croyances les plus répandues selon toi? 
                • Il faut se reposer en étant inactif

              “Ce qui arrive souvent c’est de se dire : “j’ai une tendinopathie, j’arrête le sport”. Non, en fait si on veut récupérer plus vite, il faut mettre en place des choses. Il faut rester actif, il faut bien sûr se reposer mais de manière optimale c’est-à-dire, faire autre chose mais rester actif. 

              Les sportifs ont tendance à se reposer et rester assis ou couché dans le fauteuil après une séance, il faut à tout prix rester actif pour mobiliser la chaîne postérieure. » 

                • Il faut manger léger après le sport

              « La deuxième fausse croyance est de faire des restrictions alimentaires. La fausse croyance est de se dire que parce que j’ai fait du sport, je dois manger de la salade. Je peux me permettre de manger un burger et de continuer à me faire plaisir car j’ai besoin de glucides et protéines pour récupérer. Continuez à prendre soin de vous tout en vous faisant plaisir! « 

                • Continuer sa routine sportive après un objectif atteint

              « Et finalement, une dernière fausse croyance est de se dire qu’après l’atteinte d’un objectif, on doit continuer sa routine. C’est faux. Il faut se laisser du temps, s’enlever ça de la tête,j’ai réussi ou raté mon objectif, maintenant je pense à autre chose. Il ne faut pas se mettre un objectif trop vite après une échéance parce que ça peut remettre du stress directement. Ça permet de récupérer physiquement et aussi mentalement. Le mental c’est super important. Le yoga va aider à cela aussi. Ce sont des outils super intéressants pour le sportif de travailler mentalement. »

               

              Vous voilà donc armés pour bien récupérer physiquement et par l’alimentation après les 20km de Bruxelles ou pour les amoureux du trail, le Trail de Namur ce 29 mai ! Nous y serons pour vous encourager et donner de l’énergie tout du long!

              Retenez donc… Le plus important reste de s’écouter, de se recentrer sur les signaux que votre corps vous envoie et de consulter un professionnel de la santé en cas de doute quant à des douleurs (hors douleurs musculaires) qui viendraient s’installer durablement après l’objectif.

              Et n’oubliez pas : make it fun ! 

              Vous avez aimé cet article ? N’hésitez pas à nous le faire savoir, c’est toujours chouette d’avoir vos feedbacks sur notre travail ! 

              Pssst ! Envie de vous lancer des challenges ? Faites le plein d’inspiration sur notre groupe Strava ! Non seulement, nous y publions des défis chaque semaine mais en plus de ça vous ferez partie de notre communauté #TeamKalisana !

              Comment maximiser votre énergie avant une compétition ou une course ?

              Comment maximiser votre énergie avant une compétition ou une course ?

              Pour pouvoir planifier de manière optimale toute une saison sportive ou un objectif particulier, il est bien entendu question de préparation physique, mentale mais pas que… La nutrition, l’hydratation, le sommeil et la récupération feront également office de pierres angulaires à ce projet ! Que vous soyez un sportif amateur, confirmé ou de haut niveau, ces notions sont, j’imagine, au moins familières. Si pas, pas d’inquiétude. Nous avons, la semaine passée, aborder plutôt les aspects physique et mental en lien avec la préparation d’un objectif, nous allons aujourd’hui évoquer les notions faisant référence à la nutrition et à l’hydratation.

               

              Le poids, une variable indispensable à prendre en considération ?  

              Dépendamment du sport que vous faites, la question du poids peut être centrale dans la préparation. En effet, les sports à catégorie de poids comme les sports de combat mais également l’aviron sont dépendants d’un poids à respecter afin d’appartenir à telle ou telle catégorie. Ainsi, les sportifs verront leur poids varier durant la saison avec, comme objectif, de sécher suffisamment en amont de la compétition pour pouvoir toujours concourir dans la catégorie pré-définie.Au-delà de ces sports-là, le poids reste une variable non négligeable dans des sports où le corps n’est pas “porté” (comme la natation par exemple). Ainsi, un athlète, un cycliste, un grimpeur (liste non exhaustive bien entendu) devront développer davantage de puissance durant l’effort au plus leur poids sera élevé. A titre de comparaison, sur une côte de 8%, un cycliste de 60 kg versus un de 80 kg, auront un delta de watts de 100, pour pouvoir maintenir la même vitesse. Nous pouvons dès lors remarquer que le poids est une variable centrale dans le sport.

              poids

              Quelle nutrition et hydratation avant l’effort ?  

                Ce n’est pas pour rien que l’on place dans cette baie dans la catégorie des super aliments! Elle comporte beaucoup de bienfaits. Voici 5 bonnes raisons de consommer de l’açai. grâce aux flavonoïdes présents dans l’açaï, des molécules présentes dans les plantes, que l’on nomme aussi vitamines P.

                Pourquoi l’utiliser ? Comment la consommer ? Sous quelle forme ?

                Pour bien comprendre…

                Hormis le poids, la nutrition et l’hydratation ne doivent pas être sous-estimées avant un effort. Il va de soi qu’une alimentation variée et équilibrée est de circonstance pour tout un chacun, au quotidien. La pyramide alimentaire permet de donner une idée rapide de l’importance prépondérante de certaines catégories d’aliments. En parallèle à cela, des recommandations nutritionnelles sont régulièrement mises à jour, sur base de la revue de la littérature (la science est en constante évolution). De plus, certains logos (tels que le Nutriscore) ont également fait leur apparition dans les grandes enseignes afin d’aiguiller le consommateur sur ses choix alimentaires. Toutefois, rien de tel que de se faire aider par un professionnel de la santé pour orienter vos habitudes alimentaires de manière saine et durable ! Vous pouvez retrouver nos experts dans l’onglet “Nos services” sur notre site.

                nutrition

                Glucides ou pas de glucides ?  

                  A l’arrivée de l’objectif, en fonction de la durée de l’effort, il sera nécessaire de mettre certaines choses en place en amont de l’effort. Ainsi, si l’effort est destiné à durer plus d’1h30, il sera intéressant 3 jours avant de faire une surcharge en glucides afin d’optimiser les stocks en glycogène, substrat nécessaire à l’effort. Toutefois, la veille, il pourrait être intéressant de laisser les intestins au repos afin que la circulation sanguine soit majoritaire vers les muscles et non vers le tube digestif.

                  Quelques conseils pour les 3 jours précédents la course :

                    Quid de la veille de la course ?

                    Ce sont des conseils généraux mais évidemment que la tolérance digestive est bien entendu personnelle.

                    Une alimentation digeste est de mise, c’est-à-dire :

                    • Pas de crudités ;
                    • Pas d’épices fortes ;
                    • Pas d’acidité (tomate, poivron, agrumes) ;
                    • Pas de repas trop gras ;
                    • Pas de céréales complètes ;
                    • Pas de légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots rouges, …) ;
                    • Pas d’oléagineux

                    Le repas précédant l’effort, rien de tel que de manger 3h avant, à condition qu’il soit digeste (vous pouvez dès lors vous inspirer de la liste ci-dessus).

                    Quelques exemples :

                    • Yaourt maigre + notre Sweet Granola qui est à base flocons d’avoine 
                    • Pain blanc + confiture/compote
                    • Pain blanc + fromage à tartiner/jambon/filet de poulet
                    • Volaille/Poisson blanc/Thon + Stoemp

                    1 banane bien mûre peut également être consommée, à condition que vous n’ayez pas de problèmes de constipation.

                    petit déjeuner sweet granola

                    Au niveau de l’hydratation, en fonction des températures précédant l’effort, 1,5L d’eau est la quantité minimale. En cas de fortes sueurs, il faudra éventuellement boire davantage. Et surtout n’attendez pas d’avoir soif pour boire, il est déjà trop tard !

                    J’espère que ces conseils vous aideront pour votre prochain challenge. D’ailleurs, dites-moi quel est-il en commentaires, je serais curieuse de connaître les défis que vous vous êtes lancés cette année ! 

                    Vous avez testé la recette ? N’hésitez pas à prendre une photo et nous tagguer sur les réseaux sociaux @kalisana.belgium.

                    Pssst… Cet article vous a plus ? Laissez votre avis ci-dessous et sur nos granolas dans notre boutique, ça fait toujours plaisir !

                     

                    Sources :

                    l'avis de Louise

                    Cet article a été rédigé par Louise Florizoone, co-fondatrice de Kalisana.

                    Après un bac en sciences économiques, Louise s’est redirigée des études de diététiques à l’Institut Paul Lambin à Bruxelles. Sa passion pour le triathlon l’a poussée à faire une spécialisation en nutrition sportive.

                    Si vous désirez des conseils personnalisés en alimentation du sportif ou en diététique, n’hésitez pas à prendre contact avec elle.

                    Les bienfaits de l’Açaï

                    Les bienfaits de l’Açaï

                    On vous propose aujourd’hui d’en savoir plus sur l’açaï, ce fameux antioxydant qu’on peut facilement ajouter dans nos smoothies et qui nous donne l’impression d’être en meilleure santé. Mais est-ce vraiment le cas ? L’Açaï a-t-il vraiment un super pouvoir ?

                    Avant toute chose, il nous parait important de régler une affaire de la plus haute importance ! Comment prononce-t-on le mot « açaï » ?

                    Hé oui, parce qu’ici au bureau, tout le monde le prononce différemment! Akay, assay ou a-ssa-i? Ca n’a pas mis tout le monde d’accord. Du coup, on s’est rendu sur Google Traduction pour écouter sa prononciation.

                    Verdict… On vous laisse écouter 😉

                     

                    L’açaï, d’où vient cette baie et quelles sont ses propriétés ?  

                      L’açaï est un fruit qui pousse sur des palmiers dans la forêt amazonienne au Brésil, ressemblant à des petites myrtilles. Il est riche en antioxydants, en fibres, en vitamines et en minéraux.

                      On peut le consommer sous forme de purée ou de jus, en smoothie ou dans des desserts. On peut également le prendre sous forme de gélules ou de comprimés en complément alimentaire.

                      L’açaï est devenu populaire dans le monde entier en raison de ses bienfaits pour la santé et de son goût unique ! Que peut-il nous apporter ? 

                       

                      La baie d’açaï, bonne pour la santé

                        Ce n’est pas pour rien que l’on place dans cette baie dans la catégorie des super aliments! Elle comporte beaucoup de bienfaits. Voici 5 bonnes raisons de consommer de l’açai. 

                        1. Boost du système immunitaire 

                        Riche en antioxydants, elle sera votre allié pendant l’hiver ou pour prévenir les gros rhumes de changement de saison, car n’oubliez pas… En avril, ne te découvre pas d’un fil ! 

                        Le rôle des antioxydants est de renforcer les cellules immunitaires et donc de lutter contre les infections et maladies. Il vous permet donc de garder une santé optimale. 

                        2. Anti-inflammatoire puissant

                        C’est grâce aux polyphénols que l’açaï aura un pouvoir anti-inflammatoire en bloquant les cellules responsables des inflammations. Il a donc un pouvoir anti-douleur car il inhibe la sensibilité à la douleur. 

                        pssst : poly- quoi? Les polyphénols sont des molécules présentes dans les plantes qui sont produites pour se défendre contre les agressions.

                        3. Réduction du risque de maladies génétiques comme l’obésité ou le diabète

                        La pulpe d’açaï peut aider à réduire les risques de maladies métaboliques chez les adultes en surpoids en abaissant certains marqueurs sanguins. Encore une fois, on peut remercier les antioxydants et les polyphénols présents dans l’açaï ! Ils vont protéger nos cellules contre les agressions qui peuvent oxyder et endommager nos cellules.  

                        4. Bye-bye le mauvais cholestérol ! 

                        Cette pulpe a aussi des effets hypolipémiants, ce qui signifie qu’elle peut aider à réduire les marqueurs liés au cholestérol en réduisant le cholestérol total mais aussi les taux liés au mauvais cholestérol.  

                        5. Garder toute sa tête et vivre heureux longtemps

                        L’açaï permet également réduire le risque de déclin cognitif. De quoi manger en se faisant plaisir et en gardant toute sa tête ! Tout ça grâce aux flavonoïdes présents dans l’açaï, des molécules présentes dans les plantes, que l’on nomme aussi vitamines P.

                        Les bienfaits de l'Açaï

                        Pourquoi l’utiliser ? Comment la consommer ? Sous quelle forme ?

                        Maintetant que vous connaissez tous les bienfaits de ce superaliment, nous vous avons préparé une petite recette qui accompagnera vos brunchs et pauses goûter. Cette recette équilibre parfaitement l’acidité de la baie d’açaï, le sucre des fruits et le croquant de notre Granola de Romu ! Cette recette rapide d’açaï bowl propose d’utiliser de l’açaï sous forme de poudre mais il existe plusieurs forme d’utilisation.

                        Comment la consommer et sous quelle forme ?

                         1) Comme base pour vos préparations (smoothie, açai bowl, jus, etc)  Format : purée congelée ou en poudre à diluer 

                        2) Comme ingrédient dans vos produits préparés (glaces, sorbets, gâteaux, etc)   Format : en poudre 

                        3) Comme complément alimentaire  Format : gélules ou comprimés

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                        Sources :

                        l'avis de Louise

                        Cet article a été rédigé par Louise Florizoone, co-fondatrice de Kalisana.

                        Après un bac en sciences économiques, Louise s’est redirigée des études de diététiques à l’Institut Paul Lambin à Bruxelles. Sa passion pour le triathlon l’a poussée à faire une spécialisation en nutrition sportive.

                        Si vous désirez des conseils personnalisés en alimentation du sportif ou en diététique, n’hésitez pas à prendre contact avec elle.

                        Pourquoi est-il important de s’hydrater ?

                        Pourquoi est-il important de s’hydrater ?

                        Pourquoi est-il important de s’hydrater ?

                        Après la marche rapide (ou équivalent) à raison de 30 minutes par jour, l’eau et les boissons non sucrées font partie de la base de la pyramide alimentaire, de quoi vous mettre la puce à l’oreille quant à leur importance.

                        Toutes sources confondues, il est recommandé de boire 2 litres d’eau par jour car celle-ci contribue au maintien des fonctions physique et cognitive normales. Mais pas seulement… Elle remplit également deux autres rôles : celui de satisfaire les besoins hydriques et celui d’apporter certains minéraux et oligo-éléments.

                        Il existe deux types d’eau : les eaux « potables » et les eaux « naturelles ». La première catégorie fait référence à l’eau du robinet et l’eau filtrée. La deuxième fait allusion aux eaux minérales naturelles et à l’eau de source. Toutefois, toutes eaux minérales naturelles n’a pas la même teneur en minéraux, celles-ci sont classées, selon leur teneur en milligrammes de minéraux par litre, de très faiblement minéralisée à riche en minéraux.

                        Dès lors, il existe des eaux riches en différents minéraux : bicarbonates, calcium, chlore, magnésium, sulfates, etc. L’étalage des eaux peut donc s’avérer assez vaste… Le choix parmi celui-ci dépendra donc de notre profil et de nos besoins !

                        Prenons quelques exemples :

                        – Les eaux très faiblement à faiblement minéralisées pourront convenir lorsqu’il n’y a pas de besoin particulier ;
                        – Les eaux riches en minéraux pourraient être consommées après une séance intense de sport ou en cas de sudation importante (lors des grosses chaleurs en été) ;
                        – Les eaux riches en calcium luttent contre l’ostéoporose, à savoir la diminution de la masse osseuse, phénomène apparaissant plus fréquemment chez la femme après la ménopause ;
                        – Les eaux riches en magnésium contrecarrent un transit lent et/ou une personne étant sujet à des crampes musculaires fréquentes.

                        Quels que soient vos besoins ou votre profil, il est primordial de boire suffisamment !

                        Le saviez-vous ?

                        Un indicateur simple de votre hydratation est la coloration de vos urines. Si celles-ci sont jaunes foncées, cela est un signe de déshydratation. Au contraire, si celles-ci sont jaunes claires, cela signifie que vous êtes hydratés.
                        Les urines peuvent également changer de coloration, ce qui peut être signe de certains déséquilibres. Certaines boissons diurétiques comme les boissons alcoolisées, le thé, la tisane ou le café, sollicitent davantage les reins et rendent les urines plus transparentes. Veillez donc à contrôler votre consommation en cas d’excès !
                        Certains aliments colorent également les urines comme les betteraves. Celles-ci prendraient donc une couleur plus rosée. Si vos urines sont de cette couleur-là sans consommation associée de betteraves, n’hésitez pas à consulter un médecin !

                        Au-delà de la consommation d’eaux et boissons non sucrées, certains aliments participent à votre hydratation. Les fruits et les légumes en sont les meilleurs exemples !

                        Source : Food in Action 2016

                         

                         

                        l'avis de Louise

                         

                        Cet article a été rédigé par Louise Florizoone, co-fondatrice de Kalisana.

                        Après un bac en sciences économiques, Louise s’est redirigée des études de diététiques à l’Institut Paul Lambin à Bruxelles. Sa passion pour le triathlon l’a poussée à faire une spécialisation en nutrition sportive.

                        Si vous désirez des conseils personnalisés en alimentation du sportif ou en diététique, n’hésitez pas à prendre contact avec elle.

                        Vous avez aimé l’article ? N’hésitez pas à prendre une photo et nous tagguer sur les réseaux sociaux @kalisana.belgium.

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