Bien récupérer après un défi sportif

Bien récupérer après un défi sportif

Ça y est, l’objectif est derrière vous, la ligne d’arrivée est franchie et il est maintenant temps de faire place à la récupération ! Pour certains, les muscles auront été fameusement sollicités, le tube digestif également (notamment pour sports d’endurance ou d’ultra-endurance) et pour d’autres, le mental en aura aussi pris un coup. 

Le “post-séance” est le plus souvent mis de côté chez le sportif. C’est pour cela que nous avons décidé de vous partager nos conseils et astuces en collaboration avec Renan Gossiaux, préparateur physique et conseiller chez Trakks, et Louise Florizoone, diététicienne et nutritionniste du sport.

L’alimentation après-sport – les conseils de Louise Florizoone

L’importance de la récupération par l’alimentation

Au-delà des substrats utilisés et des calories dépensées pendant l’effort, le corps continue à en utiliser après l’effort, parfois même jusqu’au lendemain! Il convient donc de bien s’alimenter après le sport pour compenser les réserves en substrats qui ont été amenuisées pendant l’effort mais également de contrecarrer les substrats qui seront encore utilisés après l’effort. 

De plus, l’effort, le déséquilibre de la balance énergétique (apports vs dépenses) induit une perte de poids (qui peut également s’expliquer par une hydratation insuffisante et donc une déshydratation) qui sera également compensée par les apports post-efforts.

Comment récupérer après la séance ? Que manger ? 

La récupération s’effectue à plusieurs niveaux : 

1. Au niveau des muscles et de la reconstruction 

Pour des efforts intenses et/ou des efforts longs (supérieurs à 1h30), il convient de resynthétiser de la masse musculaire. Cela se fait par le biais des protéines et plus spécifiquement par le biais des acides aminés branchés (la leucine, l’isoleucine et la valine) qui occupent une place centrale dans la structure des protéines et donc de la prise de masse musculaire. Toutefois, la synthèse protéique n’est optimale qu’à condition d’y combiner des glucides.

Vous avez donc certainement déjà entendu parler des boissons de récupération ? Ces boissons peuvent être de différents types à savoir à base de produits naturels ou à base de produits transformés et peuvent être préparés à la maison comme achetés dans le commerce. Le fait que ce soit une boisson permet une assimilation plus rapide des protéines, soumises à une fenêtre métabolique, à savoir qu’il est préconisé de refaire les stocks idéalement dans les deux heures post-effort.
Exemples de boissons de récupération maison : 

        • 1 grand verre de lait animal/végétal enrichi en calcium + banane + cacao 
        • 1 grand verre de lait animal/végétal enrichi en calcium + fruits congelés
        • 1 grand verre de lait animal/végétal enrichi en calcium + 1 dosette de whey

Exemples de boissons de récupération achetées dans le commerce :

        • HiPro de Danone 
        • Cécémel
        • Alpro soja

2. Au niveau des stocks en glycogène contenus dans le foie et dans les muscles 

Après un effort, les réserves en glycogène (à savoir les réserves en glucides de l’organisme) sont souvent nettement diminuées. Il est donc primordial de refaire ses stocks après l’effort. Au-delà de la boisson de récupération et si le repas en tant que tel n’est attendu que plusieurs heures après l’effort, il convient donc de manger de petites quantités de féculents raffinés (pain blanc, baguette blanche, sandwich blanc, … accompagné de garnitures sucrées et/ou salées) toutes les 20-30 minutes et ce, jusqu’au moment du repas. Un autre exemple pourrait être une portion de notre Golden Mix, riche en graisses insaturées, en glucides et en protéines. Ce snack est également riche en calories, de quoi vous permettre d’inverser le déséquilibre de la balance énergétique mais également de bien recharger les stocks en glycogène.

      golden mix récupération après effort

      3. Au niveau des « stocks en eau »

      Même si nous n’en possédons pas à proprement parler,  l’hydratation pendant l’effort peut s’avérer être un problème car il est parfois compliqué de compenser les pertes en eau induites par l’effort. Dépendamment du sport et des conditions (fortes chaleurs, altitude, …), les litres de sueur évacuées peuvent être très fluctuants. Il est donc primordial de compenser jusqu’à 150% des pertes en eau dans les 6h post-effort. Une pesée avant et après l’effort peuvent donner une indication.

      4. Au niveau de votre mental 

      Pas d’inquiétude, tout le monde ne se retrouve pas surmené lorsqu’il s’agit de se préparer pour un objectif et d’espérer y arriver plus prêt que jamais au jour J ! Toutefois, la préparation de cela a souvent nécessité des adaptations et des compromis en termes de vie privée, sociale, familiale, et j’en passe. Il est donc important de lâcher du lest une fois la date passée et de revenir à une rigueur quelque peu assouplie de l’organisation du quotidien et de la charge mentale qui s’y apparente parfois.

      5. Au niveau du volume et de l’intensité de l’entraînement 

      Hors de question d’enfiler des baskets de course, des chaussures à clips, des chaussons d’escalade et j’en passe, il est maintenant question de mettre votre corps au repos et de le laisser souffler ! Toutefois, ça ne peut tuer personne de faire des séances de stretching, d’étirements doux, de yoga léger, etc. dans les jours qui suivent. Renan vous en parle très bien ci-dessous !

      L’interview : La récupération physique – les conseils de Renan Gossiaux 

      Pas le temps de lire l’interview ? Viens la regarder en vidéo par ici !

      – Hello Renan ! Peux-tu d’abord te présenter ? 

      “Moi c’est Renan, je suis préparateur physique de formation, de l’UCLouvain, je me suis spécialisé dans tout ce qui est trail-running et j’ai fait mon mémoire sur la nutrition du sportif.  Je travaille chez Trakks, comme conseiller en vente, qui un magasin spécialisé en trail-running. Ma passion c’est la nourriture, le sport et la nature!”

      Pourquoi est-ce que le post-effort (la récupération) est-il important ? 

      “Alors, déjà, on parle souvent de pré-effort, de pendant l’effort mais l’après souvent on le bacle. On boit un petit bière, on se fait plaisir, alors que finalement le moment le plus important c’est le post-effort. 

      Après un gros effort, on a chaud. C’est parce que notre métabolisme puise encore et encore donc il faut contrebalancer ça avec un bon sommeil et une bonne alimentation.”

      Quels sont tes 7 conseils pour bien récupérer physiquement ? 
        1. “Le sommeil, c’est pendant la nuit/les siestes que le corps va récupérer le mieux
        2. L’hydratation
        3. La nutrition, comme Louise vous en a parlé ci-dessus.
        4. Le froid/chaud, la cryothérapie : se mettre dans un milieu froid, de l’eau froide, des glaçons ça permet de bien récupérer. Tout ce qui est contention donc les bas de contention ça fonctionne très bien par exemple pour les mollets. Pendant l’effort c’est pas prouvé scientifiquement mais post-effort, le retour veineux est augmenté donc on permet une oxygénation au niveau des muscles. 
        5. La récupération active c’est-à-dire les entraînements croisés et/ou les sports portés. Après un trail ou un 20km de Bruxelles par exemple, souvent on a tendance à se reposer, on reste assis. Il faut faire le contraire. Il faut mobiliser pour que le muscle soit oxygéné et il ne faut pas rester en position assise où toute la chaîne postérieure va être de nouveau recroquevillée alors qu’il faudrait l’étirer. 
        6. Les étirements : selon moi, ce n’est pas directement après la séance mais au quotidien qu’il faut s’étirer. Il faudra étirer des chaînes musculaires et non pas un muscle isolé. Par exemple, pour étirer la chaîne postérieure, on viendra se coucher sur le dos, les jambes levées pour les étirer. Cette position va aider à étirer la chaîne postérieure des cervicales jusqu’au tendon d’achille. Tout ce qui est posture de McKenzie (le cobra) est intéressant pour les disques intervertébraux. La chaîne musculaire dorsale va être privilégiée dans les étirements. 
        7. Les auto-massages : On voit les athlètes se masser pour mieux récupérer. Ca fonctionne très bien, comme un rouleau de massages par exemple, les automassages, c’est une solution hyper intéressante dans la récupération.”

          Tu parles de sport porté comme le vélo ou la natation, que penses-tu du yoga comme sport de récupération active ?

          “Pour moi le yoga est une discipline hyper intéressante, encore mal connue par monsieur et madame tout le monde. C’est un sport qui va aider à l’assouplissement, au renforcement musculaire. Ça peut vraiment aider les gens qui ont une chaîne postérieure vraiment très raide à s’assouplir et donc d’éviter des tendinopathies à répétition et des problèmes de dos.” 

          Que risque-t-on si on ne prend pas soin de soi après l’effort ? 

          “On risque de se blesser. Si le corps a été perturbé et si on remet directement de l’intensité dessus, on risque des blessures, comme des élongations (déchirures du muscle), des tendinopathies qui est LA maladie du sportif parce que beaucoup de gens créent des inflammations au niveau des tendons qui après peuvent devenir chroniques tellement il insiste dessus. Le danger c’est qu’un sportif supporte plus facilement des douleurs parce qu’il a pris l’habitude donc à un moment donné, la tendinopathie peut même passer à une fracture de fatigue. C’est là qu’il faut faire attention. La récupération fait partie intégrante de la performance. Il faut pouvoir se dire stop, je fais autre chose, je fais des entraînements croisés.

          Quelles sont les fausses croyances les plus répandues selon toi? 
            • Il faut se reposer en étant inactif

          “Ce qui arrive souvent c’est de se dire : “j’ai une tendinopathie, j’arrête le sport”. Non, en fait si on veut récupérer plus vite, il faut mettre en place des choses. Il faut rester actif, il faut bien sûr se reposer mais de manière optimale c’est-à-dire, faire autre chose mais rester actif. 

          Les sportifs ont tendance à se reposer et rester assis ou couché dans le fauteuil après une séance, il faut à tout prix rester actif pour mobiliser la chaîne postérieure. » 

            • Il faut manger léger après le sport

          « La deuxième fausse croyance est de faire des restrictions alimentaires. La fausse croyance est de se dire que parce que j’ai fait du sport, je dois manger de la salade. Je peux me permettre de manger un burger et de continuer à me faire plaisir car j’ai besoin de glucides et protéines pour récupérer. Continuez à prendre soin de vous tout en vous faisant plaisir! « 

            • Continuer sa routine sportive après un objectif atteint

          « Et finalement, une dernière fausse croyance est de se dire qu’après l’atteinte d’un objectif, on doit continuer sa routine. C’est faux. Il faut se laisser du temps, s’enlever ça de la tête,j’ai réussi ou raté mon objectif, maintenant je pense à autre chose. Il ne faut pas se mettre un objectif trop vite après une échéance parce que ça peut remettre du stress directement. Ça permet de récupérer physiquement et aussi mentalement. Le mental c’est super important. Le yoga va aider à cela aussi. Ce sont des outils super intéressants pour le sportif de travailler mentalement. »

           

          Vous voilà donc armés pour bien récupérer physiquement et par l’alimentation après les 20km de Bruxelles ou pour les amoureux du trail, le Trail de Namur ce 29 mai ! Nous y serons pour vous encourager et donner de l’énergie tout du long!

          Retenez donc… Le plus important reste de s’écouter, de se recentrer sur les signaux que votre corps vous envoie et de consulter un professionnel de la santé en cas de doute quant à des douleurs (hors douleurs musculaires) qui viendraient s’installer durablement après l’objectif.

          Et n’oubliez pas : make it fun ! 

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          Nos conseils pour ne jamais manquer d’énergie lors d’un effort physique

          Nos conseils pour ne jamais manquer d’énergie lors d’un effort physique

          Une compétition approche, vous vous êtes bien préparé, vous avez suivi un super programme d’entraînement, vous êtes au top de votre forme. Mais, le jour-J, en cas de coup de mou, il est important de prévoir de quoi faire le plein d’énergie pour ne pas tomber sur les rotules avant la ligne d’arrivée ! Pour ça, pas de panique, Louise vous a préparé plein de conseils !

          Il est désormais question d’aborder l’alimentation pendant l’effort ! Un effort, c’est un terme générique assez vaste, allant d’un entraînement, d’un enchaînement, d’une compétition, sur un jour, sur plusieurs jours, … Et le sport peut lui aussi être très varié. Dès lors, les apports ne sont pas équivalents selon le sport mais également selon la durée et l’intensité qui seront de mise. L’intensité peut dépendre de ce que le coach a prévu, de ce que vous avez envie de mettre comme énergie, ou de ce que vous avez déjà imposé à votre corps la veille ou l’avant-veille. Il convient donc de s’écouter et de ne pas surcharger votre corps et ainsi provoquer un sur-régime ! La durée de l’effort est, elle, également soumise au même contrainte que l’intensité.

          Entraînez votre estomac

          Tout d’abord, s’alimenter pendant l’effort, c’est avant tout une question de « gut training », d’entraînement de l’estomac littéralement. En effet, l’estomac a une capacité de digestion qui est propre à chacun. Pendant un effort, il y a un phénomène d’hypovolémie digestive. Cela signifie que la circulation sanguine ira majoritairement vers le foie et les muscles. Il y a donc une capacité digestive réduite par rapport à la normale. Ainsi, si vous digérez très bien certains aliments en temps normal, en situation d’effort, la réalité peut être toute autre. 

          D’un effort à un autre, cela peut également entraîner des fluctuations de digestion car différents mécanismes entrent en compte : fatigue, récupération, sommeil.

          Nutriments, fructose, … On vous explique tout !

          Nous allons ensuite aborder les nutriments utilisés par le corps à l’effort. Nous utilisons principalement les substrats suivants : glycogène, glucose exogène, fructose exogène, des lipides. 

          A jeun, durant un effort d’une intensité faible, le corps utilisera respectivement des lipides et du glycogène.

          Néanmoins, si nous mangeons une collation avant ou pendant l’effort, nous allons apporter, en plus des substrats cités ci-dessus, du glucose qui se retrouvera dans la circulation sanguine et qui sera dès lors utilisé également par les muscles comme apport énergétique. 

          Le but est d’épargner les réserves en glycogène qui sont limitées. Si nous apportons également du fructose, qui est oxydé par une voie métabolique du glucose, cela permettra d’épargner d’autant plus de glycogène et ainsi de permettre au corps d’avoir de l’énergie via différents substrats et ce, sur une plus longue durée.  

          Sur des efforts de longue durée, la dégradation des muscles sera telle qu’il conviendra d’apporter également des acides aminés comme apport énergétique et non dans un but de reconstruction musculaire. Celle-ci se fera via les protéines bien entendu mais la synthèse protéique ne sera possible qu’après l’effort.

          S’adapter en fonction de son environnement

          Toutefois, il y a une nuance non des moindres qu’il convient de préciser. Les substrats ne seront pas utilisés dans les mêmes proportions en fonction des conditions climatiques. En effet, un effort en haute altitude, par temps chaud ou froid, entraînera des réactions métaboliques différentes. Qui plus est, le sexe et l’âge entrainent également des réponses variées de l’organisme.

          Rien de tel que de donner un exemple tangible. Ne me prenez pas pour une mégalomane mais on va partir de ma situation personnelle.

          Profil : Louise, 28 ans, triathlète.

          Volume d’entraînement par semaine : 5-8h de vélo/semaine, réparties en 2 à 3 sorties.

          Sortie longue : 2h30-3h le dimanche matin, vers 10h30.

          Intensité : modérée.

          Météo annoncée : 15 degrés.

          • Petit-déjeuner habituel vers 8h30. Je prends un bol avec du yaourt, des fruits frais et j’y ajoute une bonne dose de notre délicieux Sweet Granola
          • Préparation des gourdes de boisson isotonique + collations. Pour ces dernières, je glisse quelques sachets de nos Energy Balls Corentin dans mon sac. 
          • Dès les 20 premières minutes et ce, durant toute la durée de la sortie, boire 150-200 ml de boisson isotonique. Toutes les 30 minutes, apporter 15-20g de glucides en mangeant une energy ball.

          N’hésitez pas à emporter avec vous des collations en tous genres, aussi bien sucrées que salées, pour pouvoir expérimenter ce fameux « gut training ». De plus, vos papilles vous remercieront de goûter des préparations aux goûts variés et l’écoeurement qui pourrait se faire ressentir sera moindre. 

          N’hésitez pas à tenir un carnet de votre alimentation et votre hydratation durant vos sorties, qu’elles soient à vélo ou à pied afin que vous puissiez (ré)ajuster le tir la prochaine fois et dès lors arriver avec une routine qui fonctionne pour les jours de compétition. Le multi-enchainement de plusieurs matchs (sports collectifs) ou de combats, entre autres, nécessite également des apports réguliers en liquide et solide tout au long de la journée, pour que votre pic de concentration reste optimal et que votre corps puisse encaisser la charge à laquelle il est soumis. 

          Envie d’un accompagnement personnalisé ? N’hésitez pas à contacter nos préparateurs et nos experts en alimentation.

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          Comment gérer son effort pendant une compétition sportive ?

          Comment gérer son effort pendant une compétition sportive ?

          Comme nous vous en parlions précédemment, il est important d’avoir une bonne préparation physique et alimentaire avant une compétition. Mais, malgré cela, il est possible d’avoir un petit coup de mou en pleine course ! Alors on a décidé de vous donner quelques conseils pour gérer au mieux votre compète !

          Juste avant la course

          Assurez-vous d’abord d’avoir fait le plein d’énergie avant d’arriver. Pour ça, un bon petit-déjeuner avec notre Sweet Granola est parfait ! Pour cela, préparez votre bol de yaourt, coupez un fruit frais et ajoutez une dose de sweet granola environ 1h30 avant le top départ.

          Ensuite, comme pour la préparation physique, il faut avoir un objectif réalisable. Il ne sert à rien de vouloir absolument arriver premier ou de finir en un temps record ! Non, l’important c’est de se fixer un objectif qui correspond à ses capacités physiques et par rapport à nos derniers résultats.

          Une fois cet objectif en tête, on peut passer à l’échauffement. Il est primordial de faire un bon échauffement avant une course. Il va permettre d’optimiser la production d’énergie, limiter les risques de blessures et préparer le corps à l’effort. 

          Commencez par une dizaine de minutes de footing en y allant doucement. Vous devez aller bien plus lentement que votre allure de footing habituelle.

          Après cela, lancez-vous dans quelques exercices dynamiques afin de bien réveiller vos jambes ! Talons fesses, montées de genoux, course en arrière, pas chassés, … Les exercices ne manquent pas !

          Terminez votre échauffement par quelques lignes droites, d’abord doucement, puis en accélération progressive ou à votre allure de course normale.

          Pendant la course

          Bien gérer son départ

          Les premiers mètres de course sont les plus importants ! L’ambiance, la proximité avec les autres coureurs et le trop plein d’énergie en début de course peuvent inciter à démarrer trop vite ! Pour éviter ce piège, démarrez doucement, concentrez-vous sur vos premières sensations et prenez le temps de trouver votre rythme !

          Courir à son rythme

          Pour gérer au mieux son effort, il est important d’aller à son allure optimale. Elle est personnelle, identifiez-la lors de vos entraînements et respectez-la pendant votre compétition ! Une fois que vous vous serez calé sur votre allure , le reste de la course devrait beaucoup mieux se passer et vous atteindrez plus facilement votre objectif !

          Écouter son corps

          Vous vous êtes fixé comme objectif de finir votre course en moins d’une heure ou d’arriver premier. Mais vous vous rendez compte après quelques kilomètres que n’êtes pas au top, que vos sensations ne sont pas optimales ou que vous avez une gêne musculaire. 

          Écoutez ces signaux ! N’hésitez pas à vous fixer un nouvel objectif. Mieux vaut terminer la course en ayant revu ses ambitions à la baisse plutôt que de devoir abandonner ou se blesser. Et servez-vous de cet “échec” pour analyser ce qui n’a pas été et vous préparer en conséquence pour votre prochaine course !

          L’importance du mental

          Parfois, c’est dans la tête que l’on peut flancher. On vous a dit plus haut d’écouter votre corps, mais il est important de le connaître ! Il faut savoir identifier ce qui est un vrai problème ou pas. Il est normal au bout de plusieurs kilomètres d’avoir les jambes lourdes ou de commencer à manquer d’énergie. Et là c’est dans la tête que ça se passe. Ne pensez pas aux kilomètres qu’il vous reste à parcourir mais plutôt à ceux que vous avez déjà éliminés, pensez au sentiment d’accomplissement que vous allez ressentir une fois la ligne d’arrivée franchie !

          En cas de coup de mou, vous pouvez aussi prendre une Energy Ball Amandine ! Ça vous fera du bien au moral et au corps !

          Et ne vous comparez pas aux autres. Si vous vous sentez largué, ce n’est pas parce que vous n’êtes pas capable, allez à votre rythme et accrochez vous pour finir cette course.

          On espère que tous ces conseils vont vous aider lors de votre prochaine compétition ! 

          Vous avez aimé cet article ? N’hésitez pas à nous le faire savoir, c’est toujours chouette d’avoir vos feedbacks sur notre travail ! 

          Pssst ! Envie de vous lancer des challenges ? Faites le plein d’inspiration sur notre groupe Strava ! Non seulement, nous y publions des défis chaque semaine mais en plus de ça vous ferez partie de notre communauté #TeamKalisana !

          Comment maximiser votre énergie avant une compétition ou une course ?

          Comment maximiser votre énergie avant une compétition ou une course ?

          Pour pouvoir planifier de manière optimale toute une saison sportive ou un objectif particulier, il est bien entendu question de préparation physique, mentale mais pas que… La nutrition, l’hydratation, le sommeil et la récupération feront également office de pierres angulaires à ce projet ! Que vous soyez un sportif amateur, confirmé ou de haut niveau, ces notions sont, j’imagine, au moins familières. Si pas, pas d’inquiétude. Nous avons, la semaine passée, aborder plutôt les aspects physique et mental en lien avec la préparation d’un objectif, nous allons aujourd’hui évoquer les notions faisant référence à la nutrition et à l’hydratation.

           

          Le poids, une variable indispensable à prendre en considération ?  

          Dépendamment du sport que vous faites, la question du poids peut être centrale dans la préparation. En effet, les sports à catégorie de poids comme les sports de combat mais également l’aviron sont dépendants d’un poids à respecter afin d’appartenir à telle ou telle catégorie. Ainsi, les sportifs verront leur poids varier durant la saison avec, comme objectif, de sécher suffisamment en amont de la compétition pour pouvoir toujours concourir dans la catégorie pré-définie.Au-delà de ces sports-là, le poids reste une variable non négligeable dans des sports où le corps n’est pas “porté” (comme la natation par exemple). Ainsi, un athlète, un cycliste, un grimpeur (liste non exhaustive bien entendu) devront développer davantage de puissance durant l’effort au plus leur poids sera élevé. A titre de comparaison, sur une côte de 8%, un cycliste de 60 kg versus un de 80 kg, auront un delta de watts de 100, pour pouvoir maintenir la même vitesse. Nous pouvons dès lors remarquer que le poids est une variable centrale dans le sport.

          poids

          Quelle nutrition et hydratation avant l’effort ?  

            Ce n’est pas pour rien que l’on place dans cette baie dans la catégorie des super aliments! Elle comporte beaucoup de bienfaits. Voici 5 bonnes raisons de consommer de l’açai. grâce aux flavonoïdes présents dans l’açaï, des molécules présentes dans les plantes, que l’on nomme aussi vitamines P.

            Pourquoi l’utiliser ? Comment la consommer ? Sous quelle forme ?

            Pour bien comprendre…

            Hormis le poids, la nutrition et l’hydratation ne doivent pas être sous-estimées avant un effort. Il va de soi qu’une alimentation variée et équilibrée est de circonstance pour tout un chacun, au quotidien. La pyramide alimentaire permet de donner une idée rapide de l’importance prépondérante de certaines catégories d’aliments. En parallèle à cela, des recommandations nutritionnelles sont régulièrement mises à jour, sur base de la revue de la littérature (la science est en constante évolution). De plus, certains logos (tels que le Nutriscore) ont également fait leur apparition dans les grandes enseignes afin d’aiguiller le consommateur sur ses choix alimentaires. Toutefois, rien de tel que de se faire aider par un professionnel de la santé pour orienter vos habitudes alimentaires de manière saine et durable ! Vous pouvez retrouver nos experts dans l’onglet “Nos services” sur notre site.

            nutrition

            Glucides ou pas de glucides ?  

              A l’arrivée de l’objectif, en fonction de la durée de l’effort, il sera nécessaire de mettre certaines choses en place en amont de l’effort. Ainsi, si l’effort est destiné à durer plus d’1h30, il sera intéressant 3 jours avant de faire une surcharge en glucides afin d’optimiser les stocks en glycogène, substrat nécessaire à l’effort. Toutefois, la veille, il pourrait être intéressant de laisser les intestins au repos afin que la circulation sanguine soit majoritaire vers les muscles et non vers le tube digestif.

              Quelques conseils pour les 3 jours précédents la course :

                Quid de la veille de la course ?

                Ce sont des conseils généraux mais évidemment que la tolérance digestive est bien entendu personnelle.

                Une alimentation digeste est de mise, c’est-à-dire :

                • Pas de crudités ;
                • Pas d’épices fortes ;
                • Pas d’acidité (tomate, poivron, agrumes) ;
                • Pas de repas trop gras ;
                • Pas de céréales complètes ;
                • Pas de légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots rouges, …) ;
                • Pas d’oléagineux

                Le repas précédant l’effort, rien de tel que de manger 3h avant, à condition qu’il soit digeste (vous pouvez dès lors vous inspirer de la liste ci-dessus).

                Quelques exemples :

                • Yaourt maigre + notre Sweet Granola qui est à base flocons d’avoine 
                • Pain blanc + confiture/compote
                • Pain blanc + fromage à tartiner/jambon/filet de poulet
                • Volaille/Poisson blanc/Thon + Stoemp

                1 banane bien mûre peut également être consommée, à condition que vous n’ayez pas de problèmes de constipation.

                petit déjeuner sweet granola

                Au niveau de l’hydratation, en fonction des températures précédant l’effort, 1,5L d’eau est la quantité minimale. En cas de fortes sueurs, il faudra éventuellement boire davantage. Et surtout n’attendez pas d’avoir soif pour boire, il est déjà trop tard !

                J’espère que ces conseils vous aideront pour votre prochain challenge. D’ailleurs, dites-moi quel est-il en commentaires, je serais curieuse de connaître les défis que vous vous êtes lancés cette année ! 

                Vous avez testé la recette ? N’hésitez pas à prendre une photo et nous tagguer sur les réseaux sociaux @kalisana.belgium.

                Pssst… Cet article vous a plus ? Laissez votre avis ci-dessous et sur nos granolas dans notre boutique, ça fait toujours plaisir !

                 

                Sources :

                l'avis de Louise

                Cet article a été rédigé par Louise Florizoone, co-fondatrice de Kalisana.

                Après un bac en sciences économiques, Louise s’est redirigée des études de diététiques à l’Institut Paul Lambin à Bruxelles. Sa passion pour le triathlon l’a poussée à faire une spécialisation en nutrition sportive.

                Si vous désirez des conseils personnalisés en alimentation du sportif ou en diététique, n’hésitez pas à prendre contact avec elle.

                Les conseils de Michaël, préparateur physique

                Les conseils de Michaël, préparateur physique

                Vous aimez vous lancer des défis ? Comme par exemple celui de réaliser les 20km de Bruxelles en un temps record ? Ou encore viser la première place lors d’une compétition ? Ça tombe bien, cet article vous donnera les bons tips pour être au top le Jour-J mais également les jours avant. 

                Pour celles et ceux qui ont déjà un peu d’expérience, vous savez qu’on n’arrive pas toujours au résultat espéré… Dans ce cas-là, comment réagissez-vous ? 

                 C’est soit la fin du monde (pour les plus drama-queen d’entre nous) et on se dit qu’on n’est pas fait pour ce sport, autant tout lâcher… Soit on se donne des excuses : “je n’ai pas assez dormi, j’aurais dû me ménager, je pensais que les petits verres de trop d’hier m’auraient été, j’aurais dû prendre un bon petit-dej”. – Pour cette dernière excuse, on nous dit dans l’oreillette qu’un bon petit-déj n’est plus qu’à quelques clics de vous ! C’est par ici 😉

                 Bref, c’est plutôt dramatique et culpabilisant comme scénario. Chez Kalisana, nos sportifs et sportives n’aiment pas trop l’échec, et pourtant ça fait partie de la vie de tout pratiquant ! Et chez nous, comme on aime la compétition et qu’on est prête à tout pour atteindre nos objectifs, on s’est dit qu’il fallait qu’on en apprenne davantage sur les bons tips pour bien vivre nos compétitions. Michael, qui fait partie des préparateurs physiques Kalisana, nous a donné quelques pistes pour une bonne préparation physique et mentale avant une compétition. 

                La préparation physique en général

                Objectif atteignable et réalisable 

                On ne va pas se mentir, la préparation physique est la base pour bien vivre une compétition. La première chose à faire est de se fixer un objectif qui correspond à notre force physique ou notre endurance, notre style de vie, nos contraintes personnelles et professionnelles et notre historique sportif. 

                Plan d’entrainement 

                Ensuite à partir de cet objectif réalisable, s’ensuit la planification d’un plan d’entraînement qui sera également mis en place en fonction de ces critères ci-dessus. Cela parait anodin mais un objectif et des entraînements réalisables et pertinents sont importants pour que vous puissiez vous y retenir avec rigueur et discipline.

                Alterner efforts et récupérations 

                Dans votre plan d’entraînement, il faudra alterner des périodes d’efforts et de sollicitations avec des moments de récupération. Cela permettra une progression linéaire pour prévenir les blessures, par exemple les blessures de fatigue. Il est important d’effectuer des entraînements en fonction également de votre physique et d’y aller étape par étape pour continuer à brûler les graisses sans vous brûler les ailes ;p

                Identifier nos forces et faiblesses

                Enfin, le dernier conseil de Michaël concernant la préparation en général, est d’identifier vos forces et faiblesses à travers des testings précis. Par exemple, si vous manquez d’endurance mais que vous avez de la souplesse, “la préparation s’axera davantage sur les faiblesses, de sorte à avoir un profil général plus équilibré” et ainsi éviter le risque de blessures.

                Comme dans tout, il faut donc passer par des moments d’entraînements plus difficiles ou qu’on aime moins, pour avoir un profil sportif meilleur en général et atteindre notre objectif ! Et vous ? Quelle est votre faiblesse et comment vous entraînez-vous pour la renforcer ? Dites-le nous en commentaire !

                La préparation physique en général

                5 conseils pour une bonne préparation physique proche d’un évènement important

                • Augmenter le volume et l’intensité dans un premier temps 
                • Pour ensuite diminuer le volume à l’approche du Jour J et garder la même intensité. C’est ce que l’on appelle la phase d’affûtage
                • Tester le matériel, l’alimentation et l’hydratation afin de reproduire les conditions réelles le Jour-J
                • A l’approche du Jour-J, selon le timing nécessaire, laisser le corps se reposer afin d’être au maximum de ses possibilités lors de l’objectif
                • Après l’objectif, laisser la place à la récupération avant d’envisager un prochain objectif

                Ces conseils s’adaptent donc au profil de chacun : selon notre rythme de vie, notre physique et la facilité de récupération.

                5 conseils pour une bonne préparation physique proche d’un évènement important

                Et le mental dans tout ça ? 

                Sans un mental d’acier, vous n’irez pas très loin! Si vous avez établi un vrai défi, c’est-à-dire réalisable mais qui vous sortira de votre zone de confort, vous aurez beau entraîner votre condition physique tant que vous voulez, lorsque vous êtes en plein challenge, seul le mental (ou peut-être une energy ball) viendra vous aider à repousser vos limites et réaliser votre défi.

                Michael insiste bien : “il faut trouver un équilibre entre la vie professionnelle, sociale, familiale et sportive”. Vous allez nécessairement faire des allers-retours pour trouver cet équilibre. Parfois, vous donnerez plus de temps à vos projets professionnels que sportifs (ou inversément) mais le tout est de garder en tête votre jauge d’énergie et de vous écoutez. A ce sujet, vous pouvez également réécouter l’interview de Louise et Alicia sur la façon dont elles tentent de gérer entrepreneuriat et pratique sportive.

                Plus vous gagnerez en expérience et votre mental se forgera donc patience! Cependant, Michael travaille souvent avec un préparateur mental. Il est donc possible de se faire accompagner par un professionnel qui pourra vous aider à vous préparer mentalement. Ce n’est pas anodin et peut s’avérer très utile !

                Finalement, apprenez à travailler aux sensations, écoutez-vous et apprenez à jongler avec la forme du jour et ainsi éviter le surentraînement.

                D’ailleurs, des accros au sport par ici ? Nos derniers conseils ci-dessous pourraient vous intéresser!

                Et le mental dans tout ça ?

                Faire trop de sport ?! On a dit que c’était bon pour la santé, non ?!

                Hé oui, on répète et on entend à longueur de journée qu’il faut faire du sport. Mais dans la santé, comme pour l’alimentation, attention au surplus ! Tout est une question d’équilibre encore une fois. 

                Michaël nous avertit : “faire trop de sport peut venir d’un problème de compréhension des signaux émis par son corps. Le fait de ne pas savoir se reposer, de vouloir en faire trop, tous les jours, va envoyer des signaux contradictoires à notre corps. Certaines personnes se réfugient dans le sport pour éviter de faire face à un environnement de travail ou familial déséquilibré et essayent donc de compenser. Le problème vient alors que généralement, il y a une diminution de la capacité physique et de la récupération ainsi que du bien-être en général”. 

                Faire trop de sport peut alors devenir malsain. Encore une fois, tout est question d’équilibre. Le message de Michaël est clair : prends-toi au jeu du sport, passionne-toi, lance-toi des challenges mais dans les limites du raisonnable ! 

                Michaël termine l’interview en disant que ce sont les triathlètes et sportifs professionnels qui sont le plus sujet à ce type de dérives. Triathlètes et pro, vous voilà prévenus! 

                Vous vous demandez si vos habitudes sportives sont malsaines ?

                Voici 5 signes que vous faites trop de sport :

                • Fréquence cardiaque de repos qui augmente (Identifier s’il y a une évolution de la récupération)
                • Fréquence cardiaque après effort qui met du temps à redescendre (Indicateur de l’état de force générale)
                • L’appétit qui diminue
                • L’humeur générale est moins bonne
                • Le sommeil est de moins bonne qualité

                Tous les symptômes pouvant témoigner d’une surcharge d’entraînement sont similaires aux marqueurs d’une dépression.

                Conclusion ? E-COU-TEZ – VOUS ! Soyez bienveillants avec vous-mêmes. N’hésitez pas à vous reposer, à vous amuser, ça ne fera pas de vous quelqu’un de moins ambitieux, au contraire, ça fera de vous un stratège ! Ben oui, qui a dit que le sport n’était pas un jeu ?! 

                Si vous voulez en savoir plus sur la préparation physique, n’hésitez pas à contacter Michaël !

                Vous avez aimé cet article ? N’hésitez pas à nous le faire savoir, c’est toujours chouette d’avoir vos feedbacks sur notre travail !  

                Pssst ! Envie de vous lancer des challenges ? Faites le plein d’inspiration sur notre groupe Strava ! Non seulement, nous y publions des défis chaque semaine mais en plus de ça vous ferez partie de notre communauté #TeamKalisana !

                Les bienfaits de l’Açaï

                Les bienfaits de l’Açaï

                On vous propose aujourd’hui d’en savoir plus sur l’açaï, ce fameux antioxydant qu’on peut facilement ajouter dans nos smoothies et qui nous donne l’impression d’être en meilleure santé. Mais est-ce vraiment le cas ? L’Açaï a-t-il vraiment un super pouvoir ?

                Avant toute chose, il nous parait important de régler une affaire de la plus haute importance ! Comment prononce-t-on le mot « açaï » ?

                Hé oui, parce qu’ici au bureau, tout le monde le prononce différemment! Akay, assay ou a-ssa-i? Ca n’a pas mis tout le monde d’accord. Du coup, on s’est rendu sur Google Traduction pour écouter sa prononciation.

                Verdict… On vous laisse écouter 😉

                 

                L’açaï, d’où vient cette baie et quelles sont ses propriétés ?  

                  L’açaï est un fruit qui pousse sur des palmiers dans la forêt amazonienne au Brésil, ressemblant à des petites myrtilles. Il est riche en antioxydants, en fibres, en vitamines et en minéraux.

                  On peut le consommer sous forme de purée ou de jus, en smoothie ou dans des desserts. On peut également le prendre sous forme de gélules ou de comprimés en complément alimentaire.

                  L’açaï est devenu populaire dans le monde entier en raison de ses bienfaits pour la santé et de son goût unique ! Que peut-il nous apporter ? 

                   

                  La baie d’açaï, bonne pour la santé

                    Ce n’est pas pour rien que l’on place dans cette baie dans la catégorie des super aliments! Elle comporte beaucoup de bienfaits. Voici 5 bonnes raisons de consommer de l’açai. 

                    1. Boost du système immunitaire 

                    Riche en antioxydants, elle sera votre allié pendant l’hiver ou pour prévenir les gros rhumes de changement de saison, car n’oubliez pas… En avril, ne te découvre pas d’un fil ! 

                    Le rôle des antioxydants est de renforcer les cellules immunitaires et donc de lutter contre les infections et maladies. Il vous permet donc de garder une santé optimale. 

                    2. Anti-inflammatoire puissant

                    C’est grâce aux polyphénols que l’açaï aura un pouvoir anti-inflammatoire en bloquant les cellules responsables des inflammations. Il a donc un pouvoir anti-douleur car il inhibe la sensibilité à la douleur. 

                    pssst : poly- quoi? Les polyphénols sont des molécules présentes dans les plantes qui sont produites pour se défendre contre les agressions.

                    3. Réduction du risque de maladies génétiques comme l’obésité ou le diabète

                    La pulpe d’açaï peut aider à réduire les risques de maladies métaboliques chez les adultes en surpoids en abaissant certains marqueurs sanguins. Encore une fois, on peut remercier les antioxydants et les polyphénols présents dans l’açaï ! Ils vont protéger nos cellules contre les agressions qui peuvent oxyder et endommager nos cellules.  

                    4. Bye-bye le mauvais cholestérol ! 

                    Cette pulpe a aussi des effets hypolipémiants, ce qui signifie qu’elle peut aider à réduire les marqueurs liés au cholestérol en réduisant le cholestérol total mais aussi les taux liés au mauvais cholestérol.  

                    5. Garder toute sa tête et vivre heureux longtemps

                    L’açaï permet également réduire le risque de déclin cognitif. De quoi manger en se faisant plaisir et en gardant toute sa tête ! Tout ça grâce aux flavonoïdes présents dans l’açaï, des molécules présentes dans les plantes, que l’on nomme aussi vitamines P.

                    Les bienfaits de l'Açaï

                    Pourquoi l’utiliser ? Comment la consommer ? Sous quelle forme ?

                    Maintetant que vous connaissez tous les bienfaits de ce superaliment, nous vous avons préparé une petite recette qui accompagnera vos brunchs et pauses goûter. Cette recette équilibre parfaitement l’acidité de la baie d’açaï, le sucre des fruits et le croquant de notre Granola de Romu ! Cette recette rapide d’açaï bowl propose d’utiliser de l’açaï sous forme de poudre mais il existe plusieurs forme d’utilisation.

                    Comment la consommer et sous quelle forme ?

                     1) Comme base pour vos préparations (smoothie, açai bowl, jus, etc)  Format : purée congelée ou en poudre à diluer 

                    2) Comme ingrédient dans vos produits préparés (glaces, sorbets, gâteaux, etc)   Format : en poudre 

                    3) Comme complément alimentaire  Format : gélules ou comprimés

                    Alors n’attendez plus, testez notre recette et optez pour notre Granola le plus équilibré : Nos granolas de Romu disponible dans notre boutique !

                     

                    Vous avez testé la recette ? N’hésitez pas à prendre une photo et nous tagguer sur les réseaux sociaux @kalisana.belgium.

                    Pssst… Cet article vous a plus ? Laissez votre avis ci-dessous et sur nos granolas dans notre boutique, ça fait toujours plaisir !

                     

                    Sources :

                    l'avis de Louise

                    Cet article a été rédigé par Louise Florizoone, co-fondatrice de Kalisana.

                    Après un bac en sciences économiques, Louise s’est redirigée des études de diététiques à l’Institut Paul Lambin à Bruxelles. Sa passion pour le triathlon l’a poussée à faire une spécialisation en nutrition sportive.

                    Si vous désirez des conseils personnalisés en alimentation du sportif ou en diététique, n’hésitez pas à prendre contact avec elle.

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